Les communistes ont choisi leurs candidats aux élections sénatoriales du 25 septembre 2011. Ce sont nos camarades :
- Michel Giniès, Maire de Damparis et Conseiller Général de Dole Sud Ouest avec comme suppléante Christiane Porteret, maire d'Eclans-Nenon
- et André Lamy, Conseiller Général de Voiteur, vice Président du Conseil Général en charge des Transports avec comme suppléante Marianne Ramé, élue municipale à Champagnole.
Dans une déclaration à la presse, ils ont évoqué les raisons fortes de leur engagement.
"Les deux élus s’opposent en bloc à la politique de l’Etat « concernant la RGPP, la loi de réforme territoriale, le nouveau schéma intercommunal, la disparition programmée des syndicats intercommunaux, les fermetures de classes, la lente dégradation du maintien de l’activité en milieu rural, la désertification des campagnes qui en découle, le transfert de charges de l’Etat sur les collectivités locales sans les compensations suffisantes ou encore l’éloignement progressif des citoyens des centres de décision ».En résumé : mettre fin « à cette politique du chiffre au détriment de la réalité des territoires et de ce que souhaitent les citoyens. »
André Lamy et Michel Giniès disent stop à ce qu’ils appellent le double langage des sénateurs du Jura, « qui votent à Paris et font semblant de déplorer les effets de la politique qu’ils soutiennent quand ils reviennent dans le Jura. »
Les deux candidats communistes prônent la clarté et la transparence. Une justice sociale à tous les niveaux également. Surtout, ils revendiquent haut et fort la volonté d’un vrai changement de politique. « Nous sommes les élus les plus à gauche de la gauche. Il y a beaucoup de candidatures pour ces sénatoriales dans le Jura ? Eh bien nous, nous voulons rassembler et peser sur les décisions sans renier nos convictions. La gauche se diversifie, nous revendiquons cette diversité et nous voulons y participer en faisant entendre notre voix. Tous les grands électeurs qui veulent que la politique actuelle du gouvernement cesse doivent comprendre que la plus grande alternance du changement est symbolisée par notre candidature. » Extrait du Progrès du 25 juin 2011.
- Michel Giniès, Maire de Damparis et Conseiller Général de Dole Sud Ouest avec comme suppléante Christiane Porteret, maire d'Eclans-Nenon
- et André Lamy, Conseiller Général de Voiteur, vice Président du Conseil Général en charge des Transports avec comme suppléante Marianne Ramé, élue municipale à Champagnole.Dans une déclaration à la presse, ils ont évoqué les raisons fortes de leur engagement.
"Les deux élus s’opposent en bloc à la politique de l’Etat « concernant la RGPP, la loi de réforme territoriale, le nouveau schéma intercommunal, la disparition programmée des syndicats intercommunaux, les fermetures de classes, la lente dégradation du maintien de l’activité en milieu rural, la désertification des campagnes qui en découle, le transfert de charges de l’Etat sur les collectivités locales sans les compensations suffisantes ou encore l’éloignement progressif des citoyens des centres de décision ».En résumé : mettre fin « à cette politique du chiffre au détriment de la réalité des territoires et de ce que souhaitent les citoyens. »
André Lamy et Michel Giniès disent stop à ce qu’ils appellent le double langage des sénateurs du Jura, « qui votent à Paris et font semblant de déplorer les effets de la politique qu’ils soutiennent quand ils reviennent dans le Jura. »
Les deux candidats communistes prônent la clarté et la transparence. Une justice sociale à tous les niveaux également. Surtout, ils revendiquent haut et fort la volonté d’un vrai changement de politique. « Nous sommes les élus les plus à gauche de la gauche. Il y a beaucoup de candidatures pour ces sénatoriales dans le Jura ? Eh bien nous, nous voulons rassembler et peser sur les décisions sans renier nos convictions. La gauche se diversifie, nous revendiquons cette diversité et nous voulons y participer en faisant entendre notre voix. Tous les grands électeurs qui veulent que la politique actuelle du gouvernement cesse doivent comprendre que la plus grande alternance du changement est symbolisée par notre candidature. » Extrait du Progrès du 25 juin 2011.
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