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LE FRONT DE GAUCHE REMPLIT LE PALAIS DES SPORTS

4 500 à BESANCON !

Du jamais vu ! Ou alors depuis longtemps !  On pensait être 2000...Nous étions 4 500 pour le meeting de Besançon.


Des militants bien sûr, mais pas seulement. Des hommes, des femmes, des jeunes venus se faire une idée sur le candidat Mélenchon mais aussi sur la possibilité de sortir de la crise, pour simplement espérer vivre mieux, normalement, décemment, sans peur du lendemain.


Et nous n'avons pas été déçus ! Après Clémentine Autain et Pierre Laurent, Jean Luc Mélenchon  a soulevé l'enthousiasme, un élan fondé sur la réflexion et des arguments forts pour ouvrir concrètement, sur le thème du renouveau industriel et technologique, une alternative avec le programme "L'humain d'abord". 

Il a dénoncé comme jamais l'imposture du Front national, capable aujourd'hui s'il atteint un haut niveau de faire gagner Sarkosy. 

Il a ciblé l'obstacle au bonheur : la toute puissance du monde de la finance. Il a redonné de la fierté au monde du travail, à la classe ouvrière.
Hier soir, le rouge avait ses plus belle couleurs hissées haut.



A lire ci-dessous, un article de MEDIAPART.

Besançon, de notre envoyée spéciale
Le Front de gauche grimpe les étages. En témoigne le troisième meeting de campagne de son candidat Jean-Luc Mélenchon, mardi soir, à Besançon, dans le Doubs, dernière halte d’un road-trip industriel sur les terres ouvrières de la Franche-Comté. 2.000 personnes étaient attendues. Elles furent 4.500 à entonner, vent debout, « Résistance, résistance », transformant le palais des Sports en une mer de drapeaux rouges.
« La gauche est de retour ! », a scandé le candidat, « défenseur du peuple contre l’oligarchie », après une entrée fracassante, poing levé, au milieu de la foule. Aux côtés de Clémentine Autain, la voix de la Fase (Fédération pour une alternative sociale et écologique), et Pierre Laurent, le secrétaire national du parti communiste, l'orateur, « porte-parole du Front de vie », a parlé aux ouvriers, aux précaires, aux immigrés, à « tous les invisibles ».
Avec sérieux, rage et humour, il a cloué au pilori les banques, les agences de notation ainsi que « les quatre Dalton de l’austérité » (Sarkozy, Hollande, Bayrou, Le Pen), fustigeant longuement l’une d’entre eux, la candidate du Front national. En guise de conclusion, comme à son habitude, une citation de Victor Hugo, qui a pris une résonance toute particulière dans la ville natale de l’auteur des Misérables : « Le plus excellent symbole du peuple, c’est le pavé. On lui marche dessus jusqu’à ce qu’il vous tombe sur la tête. »

L'article est suivi d'un reportage sur la préparation du meeting dans le doubs. 

L'intégrale à lire sur  http://www.mediapart.fr/article/offert/574c32ecde075484f96a6321a296dd40

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