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Affichage des articles associés au libellé SARKOSY

Une victoire qui ouvre un nouvel espoir en France et en Europe

En élisant aujourd'hui 6 mai, François Hollande président de la République, le peuple de France s'est libéré d'un pouvoir qui l'a méprisé et agressé pendant 5 ans. Je veux dire la joie des communistes qui ont combattu sans relâche Nicolas Sarkozy et sa politique et qui ont œuvré de toutes leurs forces à cette victoire. Je veux féliciter François Hollande pour son élection. Les femmes et les hommes qui se sont rassemblés sur sa candidature pour infliger à Nicolas Sarkozy la défaite qu'il méritait ont ouvert un nouvel espoir en France, et en Europe. Je veux remercier les millions d'électrices et d'électeurs du Front de gauche qui ont apporté une contribution décisive à ce résultat. Sans la campagne mobilisatrice menée par le Parti communiste français et ses partenaires du Front de gauche avec leur candidat commun, Jean-Luc Mélenchon, sans les propositions de notre programme, L'Humain d'abord, sans notre engagement déterminé entre l...

SARKO DEGAGE !

Discours de Stalingrad par PlaceauPeuple Pour la révolution citoyenne, Pour la 6ème république, Pour le SMIC à 1700 euros, Pour l'école, la santé, l'emploi... Pour tout ce que nous avons porté pendant cette campagne du Front de Gauche avec notre programme partagé "L'humain d'abord !" Il faut d'abord que Sarkosy dégage ! Alors sans hésitation, utilisons le bulletin de vote Hollande. Et dès lundi matin, nous entrons en résistance !

Sarkosy dehors !

Pierre Laurent : et maintenant, Sarkozy dehors ! Déclaration de Pierre Laurent, secrétaire national du Parti communiste français, président du Conseil national de campagne du Front de gauche Paris, le 22 avril 2012 Et maintenant, Sarkozy dehors ! Pour toutes celles et tous ceux qui aiment notre pays, qui, depuis cinq ans, ont durement souffert de la politique de Nicolas Sarkozy, souffert de la voir affaiblir, appauvrir, abîmer la France, les résultats (connus à cette heure) du premier tour de l'élection présidentielle résonnent comme un appel à tout mettre en œuvre pour battre le président sortant. Comme on le redoutait, le score du Front national peut servir de réservoir au candidat Sarkozy. Le président sortant, en recul par rapport à 2007, peut être battu le 6 mai prochain. Le second tour mettra aux prises, pour la droite, Nicolas Sarkozy, pour la gauche, François Hollande, le candidat socialiste que le suffrage universel...

Le 6 mai, continuons le combat...

Le 6 mai, le parti communiste, le Front de gauche vous appellent à continuer le combat. Après la belle campagne menée pour le premier tour et le vote Mélenchon, maintenant, il faut battre Sarkosy et refuser les politiques d'austérité. Le premier mai, une belle riposte s'est manifestée face aux insultes de Sarkosy à l'égard des travailleurs et de leurs syndicats. 2000 dans le Jura, des cortèges impressionnants à Paris et dans toute la France. Maintenant, chassons Sarkosy en utilisant le vote Hollande ! Nous continuerons sans relâche à défendre notre programme "L'humain d'abord". Le préalable est de nous débarrasser du Président des riches, de cette droite qui a propagé pendant 5 ans les thèses du FN, augmenté le chômage et la précarité et qui veut briser tous nos droits. Toute l'Europe de gauche et syndicale attend de nous que nous brisions l'axe Sarkosy/Merkel qui impose partout l'Europe austéritaire. Le 6 mai, battons Sarkosy pour ...

Le vote du peuple : le vote Melenchon

EP.22 - En marche : Plage au peuple par PlaceauPeuple   Dernières heures de campagne. A minuit nous ne pourrons plus publier sur ce blog. Mais chacun, chacune pourra encore convaincre jusqu'à la dernière minute en parlant avec ses amis, sa famille, ses voisins, ses collègues, ses connaissances. Jusqu'à la dernière minute nous pouvons gagner des voix pour un autre partage des richesses, pour une société fraternelle. On va virer Sarkosy, mettons du même coup Le Pen sur le flanc ! Le vote utile, c'est le vote Front de Gauche, le vote MELENCHON.

TRAVAILLER MOINS, TRAVAILLER MIEUX POUR TRAVAILLER TOUS !

En ce moment,  
un hold-up démocratique est en cours. Les syndicats ont été sommés fin janvier par le chef de l’État, devant des millions de téléspectateurs, de négocier avec le patronat sur la question des accords compétitivité-emploi. Avant même que la discussion s’engage,  on connaît le contenu du texte exigé 
par le couple Sarkozy-Parisot : délivrer un permis de chantage aux employeurs. L’UMP a déjà fait adopter, en catimini, un article de loi autorisant les entreprises à moduler le temps de travail, c’est-à-dire à outrepasser la durée légale du temps de travail, sans accord du salarié. C’est bien plus grave que la seule remise en cause des trente-cinq heures. Il s’agit d’ouvrir une brèche béante dans le concept qui a forgé l’identité du modèle social français : la loi fixe les limites à ne pas dépasser. Elle représente un verrou qui protège le salarié de l’arbitraire patronal. Ce coup de force représente un coup 
de frein brutal à un mouvement commencé...

Sarkozy : Si le « rendez-vous approche », la riposte doit être immédiate !

  Plus que jamais candidat, Nicolas Sarkozy part à l'abordage dans une interview du Figaro Magazine. A toutes les mesures anti-sociales déjà annoncées (TVA « sociale », fin de la durée légale du travail, Traité européen d'hyper austérité) et toutes confirmées dans cet entretien, le président en ajoute une particulièrement grave : l'obligation qui sera faite aux chômeurs, en contre partie de la fin du versement de leurs indemnités, d'accepter le premier et n'importe quel emploi précaire et sous-payé. Afin de se soustraire à la sanction du scrutin d'avril et mai prochains, l'ancien chef de l'UMP camoufle son offensive de régression sociale accélérée dans une cascade d'hypothétiques référendums à venir, sur cette question comme sur celle de l'immigration. En revanche, dans ces pages, Nicolas Sarkozy ne dit pas un mot du traité européen qu'il a concocté avec la chancelière Angela Merkel, et se tait sciemment sur le coup de fo...

Le Président a menti aux français

Nicolas Sarkozy s'est livré à une heure d'autosatisfaction irréelle  pour justifier l'accord signé à Bruxelles. Que faut-il retenir de cette leçon présidentielle ? « Tout va bien, tout est sous contrôle, nous avons eu raison de faire la réforme des retraites car les retraités étaient responsables de la dette, il n'y a pas eu de baisse de salaires et de retraites en France. » Mais qui peut croire à une fable pareille ? Les souffrances des Français étaient absentes de tout le propos présidentiel. En fait , il s'agissait de répéter les mêmes slogans de campagne comme le « travailler plus... » auquel plus aucun Français ne peut croire, les mêmes promesses sur la fin des bonus des banquiers plusieurs fois annoncée mais jamais réalisée. Surtout il s'agissait pour le Président de justifier de nouvelles mesures d'austérité qu'il a d'ailleurs refusé d'annoncer clairement, sans écarter une hausse de la TVA...