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Affichage des articles associés au libellé EMPLOI

JACOB DELAFON EN CHOMAGE PARTIEL

Dans une situation de crise financière mondiale, qui sert d’alibi aux suppressions massives d’emplois dans le public comme dans le privé, le groupe Kohler/Jacob Delafon, assassin de l’emploi, licencie depuis des années et demande de nouveaux sacrifices à ses salariés en lui imposant le recours au chômage partiel. Après les 163 suppressions de poste l’année dernière avec la suppression du site d’Ideal Standard, la saignée continue dans le Sanitaire. Cette entreprise, Jacob Delafon, au savoir faire connu et reconnu de tous dans notre région, déstructure la vie sociale et l’activité économique d’une partie importante de notre bassin Dolois. A nouveau, les salariés de Jacob sont menacés par les exigences de rentabilités des actionnaires. La soif de profit a nouveau n’a que faire de l’humain et des activités industrielles. Les savoirs faire qui ont placé Jacob Delafon parmi les marques leader dans le secteur du sanitaire depuis la fin des années soixante dix ont empli les poche...

MANIFESTONS LE 9 AVRIL

Nous soutenons les deux manifestations qui auront lieu dans le Jura, le Mardi 9 avril 2013 - à 10h30 – sous préfecture à DOLE ; - à 15 heures Place de la Liberté à LONS

Les salariés sont invités pour le 29

1 A la porte de l'entreprise BEL, les militants du PCF-Front de gauche invitent les salariés de Bel à participer à la soirée du vendredi 29 au Carcom de Lons, contre l'austériTHE ! Rendez-vous à 19 heures, avenue de Lahr (près de la passserelle)

POT DE THE CONTRE POT DE FER

Un documentaire de 70 minutes qui retrace la lutte des Fralib de Gémenos qui depuis maintenant 18 mois se battent pour retravailler. Cette bataille sociale est éminemment politique car elle interpelle chacun de nous sur la réappropriation sociale de l'outil de production par les salariés eux-mêmes. Si Unilever (propriétaire de la marque et des machines) ne souhaite plus produire la marque Éléphant à Gémenos, c'est son choix. Mais de quel droit peut-il interdire la reprise de l'activité par les 182 familles qui vivent de cette production et qui permettent aux consommateurs français de bénéficier d'un produit de qualité fabriqué à quelques encâblures de chez eux. Est-ce que produire français est devenu une aberration ? Est-ce que vivre et travailler au pays est devenu obsolète ? Est-ce que réappropriation sociale est une idée saugrenue ? Est-ce que nous allons laisser une caste de privilégiés diriger nos vies, et les jouer sur le grand tapis vert de la ...

A lire dans l'huma

Aujourd'hui, l'HUMANITE d'écrypte l'accord du Medef sur l'emploi http://www.humanite.fr/social-eco/andre-chassaigne-vu-l-enjeu-c-est-la-mere-des-bata-516587

LE MEDEF NE FERA PAS LA LOI !

SECURISER L’EMPLOI, PAS LE PATRONAT! Pas de transcription dans la loi de l’accord du 11 janvier ! Le conseil des ministres du 6 mars examinera le projet de loi qui transcrit fidèlement l’accord dit de « sécurisation de l’emploi », initié largement par le MEDEF. Ce texte, minoritaire signé par des organisations représentant seulement 38% des salariés est une régression sociale inédite : temps partiel ajustable, expérimentation du CDI intermittent, mobilité forcée et modulation du salaire et du temps de travail quand il y a des difficultés dans l’entreprise. C’est le retour des accords « compétitivité emploi » de Sarkozy ! Les parlementaires s’apprêtent donc à légiférer à partir d’un projet de loi qui satisfait le patronat et pour cause : il facilite les possibilités pour les grands groupes de rendre l’emploi toujours plus flexible et précaire. Le chantage de la direction de Renault sur les salariés avec l’accord de compétitivité anticipe ce que serait c...

TRAVAILLER MOINS, TRAVAILLER MIEUX POUR TRAVAILLER TOUS !

En ce moment,  
un hold-up démocratique est en cours. Les syndicats ont été sommés fin janvier par le chef de l’État, devant des millions de téléspectateurs, de négocier avec le patronat sur la question des accords compétitivité-emploi. Avant même que la discussion s’engage,  on connaît le contenu du texte exigé 
par le couple Sarkozy-Parisot : délivrer un permis de chantage aux employeurs. L’UMP a déjà fait adopter, en catimini, un article de loi autorisant les entreprises à moduler le temps de travail, c’est-à-dire à outrepasser la durée légale du temps de travail, sans accord du salarié. C’est bien plus grave que la seule remise en cause des trente-cinq heures. Il s’agit d’ouvrir une brèche béante dans le concept qui a forgé l’identité du modèle social français : la loi fixe les limites à ne pas dépasser. Elle représente un verrou qui protège le salarié de l’arbitraire patronal. Ce coup de force représente un coup 
de frein brutal à un mouvement commencé...

LEJABY : LA MOITIE DES EMPLOIS SACRIFIES

Lejaby ou le symbole cruel de l'incompétence gouvernementale Après s'être réjoui du rachat du fabricant de lingerie Lejaby, le ministre du travail Xavier Bertrand feint d'oublier les pertes d'emplois que ce rachat implique. Les repreneurs conservent moins de la moitié des salariés et l'usine d'Yssingeaux a été fermée.  Les 93 employés, révoltés par la décision du tribunal, ont prévu d'occuper l'usine mercredi soir pour dénoncer la délocalisation de la production. Ils accusent les pouvoirs publics d’avoir « menti » et « fait semblant de les soutenir ». Au lendemain du sommet « social » organisé en grande pompe par le président Nicolas Sarkozy, Lejaby est le symbole cruel de l'incompétence gouvernementale. Le PCF aux cotés des salariés, trouve inacceptable que le ministre du Travail se « réjouisse » de la perte de 255 emplois. Le PCF exige des mesures concrètes contre les plans sociaux, les dél...